Moi, femme, villageoise et libraire

Quand on lit un livre confiné en plein Coronavirus, on relève plus facilement ceci : « si une épidémie de fièvre aphteuse se déclarait de nouveau, il y serait bloqué pendant des mois » ou ceci : « On a nos Kleenex, c’est plus hygiénique. » ou encore : « Florence était stupéfaite qu’il sût seulement son nom, tel avait été le confinement du vieil homme ces dernières années. »

la-libraire-856065-264-432Et pourtant, comme le titre l’indique, c’est avant tout une histoire de librairie et comme on dit vulgairement d’offre culturelle dans un lieu nommé Hardborough, petit village côtier du Suffolk. Dans les années 50, Florence Green, jeune veuve, veut vitaliser son village et reprendre une vieille bâtisse pour la transformer en librairie. Lire la suite « Moi, femme, villageoise et libraire »

Bonne heure littéraire : 10h46

À lire à l’heure

[Explicit]

la-libraire-856065-264-432« À Flintmarket, elle prit le train de dix heures quarante-six pour Londres, terminus Liverpool Street. Comme le train quittait la gare, n’importe qui aurait pu la voir dans son compartiment, assise, la tête baissée, honteuse, parce que la ville où elle avait vécu pendant près de dix ans n’avait pas voulu d’une librairie. »

La Libraire de Penelope Fitzgerald (1978)

Bonne heure littéraire : 15h25

À lire à l’heure

index« Il lui expliqua le but initial de sa visite : il voulait lui suggérer d’employer un adolescent dégourdi pour lui donner un coup de main, peut-être après l’école. […] Dans le nombre, elle trouvera bien une des filles à vous envoyer après l’école. La journée des gosses finit à quinze heures vingt-cinq. »

La libraire de Pénélope Fitzgerald (1978)