
Le grand roman de Georges Perec vient enfin d’être traduit en finnois.
Depuis le temps qu’on l’attendait.
Lire la suite « Enfin en finnois »Le grand roman de Georges Perec vient enfin d’être traduit en finnois.
Depuis le temps qu’on l’attendait.
Lire la suite « Enfin en finnois »[Incipit]
« 10 avril, 19 h 30. Hôpital militaire du Val-de-Grâce, Paris 14e
La sueur perlait sur le front de l’adolescente qu’une tente stérile protégeait du monde extérieur.»
La disparition de Perek d’Hervé Le Tellier
A lire aussi : https://lirepeuouproust.wordpress.com/2021/04/23/quand-un-critique-qualifiait-la-disparition-de-roman-facile/
Ce qu’il y a de bien avec les calendriers de l’Avent, c’est leur retour annuel (l’équivalent de 2020 est ici).
Cherchant l’un, on trouve l’autre. Et si on s’interrogeait sur des mots qui se ressemblent ? Le Net est un grand pourvoyeur de confusions. Homonymes, homophones. Avec Internet, il faut être prudent. Une sérendipité réfléchie nous donnera davantage de distinction pour briller en société.
Georges et Marie-José, ces deux prénoms vintage font penser au couple de voisins âgés du 8ème, à droite en sortant de l’ascenseur.
Oui, on associe ces deux célébrités, mais pas parce qu’elles vivent ensemble. Georges et Marie-Jo ont un patronyme quasi identique : Perec/Pérec. Il y a de la gloire et du talent dans ce nom. Parfois un accent.
Lire la suite « 5/25 : Georges et Marie-José ou Perec et Pérec »René Marill Albérès est une forme de génie de la critique. En 1969, il qualifie le roman de Perec, La Disparition, de roman « facile ».
[Écrire sans -e comme Georges Perec en s’aidant de quelques chevilles puisées dans La Disparition]
version 4.0. 922 mots (la précédente en comptait 645)
Lire la suite « La Covid au temps de La Disparition de Perec (4.0) »[Écrire sans -e comme Georges Perec en s’aidant de quelques chevilles puisées dans La Disparition]
version 3.0. 645 mots.
Il attrapa un truc cochon. Pas un coryza à virus (staphylococcus viridans) mais un coronavirus qui mit l’individu au plus mal. On l’alita. Quasi à l’hosto. Ouf, sans bistouri mais, manquant d’air, l’asphyxiation montant pas à pas.
Lire la suite « La Covid au temps de La Disparition de Perec »C’est le 10/10, 10 octobre : le dys/dys
Sans ados ou quasi-ados dans son cours, un Ouliprof a froid, prof vain, sans voix.
10/10. Hic & nunc. Dix Dix. Dys Dys. Hasard. Jour-J. On y voit l’apparition d’un signal.
Aujourd’hui, l’ouliprof voit du dys partout. Dys/dys.
Paumant son latin, lui qui a appris, jadis, l’anglais :
Thursday, day à dys. Lire la suite « Le Dys octobre (journée des dys) »
Ce jour, il déniche un exemplaire de La Disparition, le roman à contrainte de Perec.
À chaque fois qu’il se plonge dans ce livre, c’est sans son chapeau. Et pour cause, il l’a ôté devant la contrainte culottée de Perec qui a ôté, pour l’occasion, tous les -e de son panier littéraire.
Pas un seul -e. Lipogramme, svp !