
Pourquoi par le jeu de la traduction Il giorno prima della felicità d’Eri De Luca (2009) devient-il, dans l’édition française, Le jour avant le bonheur.
Lire la suite « C’est quand le bonheur avec Erri De Luca ? »Pourquoi par le jeu de la traduction Il giorno prima della felicità d’Eri De Luca (2009) devient-il, dans l’édition française, Le jour avant le bonheur.
Lire la suite « C’est quand le bonheur avec Erri De Luca ? »Erri de Luca : « Et pour connaître bien sa propre langue, il faut lire beaucoup. Cela permet à la fois de se tenir compagnie et de renforcer son système immunitaire du vocabulaire. » (Libération, samedi 26 septembre 2020)
Le prof, le lecteur ou l’auteur qu’il est ne peut que souscrire modestement aux propos de De Luca.
Faisons tous grand cas de la lecture et du vocabulaire.
En venir aux mots – même au punchline – plutôt qu’aux poings.
Ces mots d’Erri denses, c’est l’évidence s’exclameront certains.
Oui.
Sur ce blog, il ne joue pas avec les mots. Il met les mots en joue.
Il pèse ses mots puis les bise. Sur la joue. Du baise-mains façon bise-mots et il en baise maints.
Il avance, mot à mot, à l’horizon d’une verticalité, celle d’une montagne de termes. Une ascension, un 40 000 et plus avec sa VerbaTeam. Du sommet de la Langue française jusqu’aux racines latines, grecques (et toutes leurs consœurs).
À lire à l’heure
« Q. Je vous demande tout de même de revenir sur votre journée.
R. Je me réveille tôt, vers 5 heures. J’attends 7 heures pour descendre dans la salle à manger et prendre mon petit-déjeuner. »
Impossible d’Erri de Luca