Éphémérides. Quand le calendrier se fait littéraire.
« Steve déménage et se trouve un appartement le 21 juin. Le lendemain, il avoue à son tuteur ce mensonge qui dure depuis cinq mois. Avec grand plaisir. Lire la suite « A lire un 29 juin »
Éphémérides. Quand le calendrier se fait littéraire.
« Steve déménage et se trouve un appartement le 21 juin. Le lendemain, il avoue à son tuteur ce mensonge qui dure depuis cinq mois. Avec grand plaisir. Lire la suite « A lire un 29 juin »
Éphémérides. Quand le calendrier se fait littéraire.
« Le vendredi 16 avril
« Asseyez-vous, Allison, je vous en prie. Je peux vous servir quelque chose ? Lire la suite « A lire un 16 avril »
Éphémérides. Quand le calendrier se fait littéraire.
« Le 13 avril, Steve avale quarante cachets d’Ambien et s’ouvre les veines avant de faire une overdose. Lire la suite « A lire un 13 avril »
C’est en ouvrant les vannes qu’on devient Vann. Quand il a su que le livre sortait, il l’a aussitôt acheté.
Une fois encore. Des larmes, des armes, du sang. Cette fois-ci l’Alaska se délocalise en Californie, pyschothérapie oblige.
Le sujet du livre est un père.
Lire la suite « C’est en ouvrant les vannes qu’on devient Vann »
Sukkwan Island n’est pas l’île des Bienheureux et la Goat Mountain n’est pas une montagne à vaches chevrotantes. Non, ce sont des titres de livres de l’auteur américain David Vann. Des livres qui titrent fort, qui ouvrent des vannes de chasse, de déversement, d’excès.
C’est de la nitrolittérature, de le lignamite, de l’explosif.