
En 1994, Johnny Cash sort un album, American Recordings. Son meilleur depuis des années.
L’album marque et la pochette devient iconique.
Lire la suite « Johnny Cash ou On ne peut juger des chiens à une couverture. »En 1994, Johnny Cash sort un album, American Recordings. Son meilleur depuis des années.
L’album marque et la pochette devient iconique.
Lire la suite « Johnny Cash ou On ne peut juger des chiens à une couverture. »Qu’un tableau majeur de la peinture romantique française figure sur la pochette d’un groupe de folk-rock anglais aux racines punks, voilà qui n’est pas banal.
https://www.editionsdensite.fr/pogues.html
On ne peut pas juger un livre à sa couverture (voir « You can’t judge a book by looking at the cover » que chantait avec succès Bo Didley en 1962), mais on peut sourire franchement en découvrant celle-ci (voir plus haut) qui circule sur les réseaux notamment marchands (sur Amazon).
Peut-être n’a-t-on pas envie de lire ce livre, mais envie de sourire, ça oui.
« La Bible des trobules de la personnalité »
John Burnside est un auteur écossais, de la même île au trésors que Stevenson. Il a écrit un livre, dont la couverture de la traduction française pose cette question essentielle : Thé ou café ?
La couverture ?
Non, les couvertures.
Il y a en eu deux.
Un lâcher de livres rouges issus de ma bibliothèque. Petits ou moins petits. De quoi être, peut-être, un peu moins lâche et un peu plus rouge. Ou poète. Ou tout autre chose…Rappelons tout de même qu’on ne peut juger un livre à sa couverture.
Lire la suite « Petits (ou moins petits) livres rouges »Pas de Tour du monde en romans, ici. Mais des États unis sur des étagères.
Un tour des USA en couvertures de romans.
Où l’on constate, entre autres, qu’un État américain se song souvent. Sacrés swing states !
Même si son animal de prédilection est l’ours, on trouve d’autres bêtes dans son œuvre, la preuve… Ah ! Ces animaux à contes d’auteurs.
Il s’appelle Pierre Faucheux
On le surnommait Monsieur Couverture ou bien l’homme aux 100 000 couvertures.
Pierre Faucheux (1924-1999)
Le goût du jeu de construction, un game-cover, jamais fini. 100 000, on nous l’assure. Lire la suite « L’homme aux 100 000 couvertures »
« You can’t judge a book by looking at the cover » chantait avec succès Bo Didley en 1962 (chanson enregistrée à Chicago, la ville de Saul Bellow, search results will appear Bellow). Pas plus, ajoutait-il, qu’on ne peut juger une pomme à son arbre ou du miel à une abeille, etc. (ni une couverture de livre à la pomme et à l’abeille qui figurent dessus)
Juger un livre à sa couverture ?
On dit des journalistes qu’ils couvrent des événements. C’est leur mobilité professionnelle qui veut ça. C’est une question de lieux. Il faut bouger. C’est usant. Reporter d’images ? Il respecte, voire il admire, mais il préfère le texte.
Lui, sans bouger de chez lui, couvre ses livres des yeux.