Devinette godardienne.
À ne pas confondre avec le nœud godardien. La devinette est bien plus subtile.
Réponse, ici : https://lirepeuouproust.wordpress.com/2022/06/15/la-lettre-volee-entre-poe-et-perec/

Devinette godardienne.
À ne pas confondre avec le nœud godardien. La devinette est bien plus subtile.
Réponse, ici : https://lirepeuouproust.wordpress.com/2022/06/15/la-lettre-volee-entre-poe-et-perec/
Calembour cinématographique dans Bande à part de Godard (1964)
« On va aller au café et faire un plan » (pour un cambriolage)
« Un plan ? Pour quoi faire ? »
(Claude Brasseur et Anna Karina)
L’année scolaire n’est pas finie mais il y a le temps pour le professeur de refaire le film, sage comme une image par image. C’est bien ces classes-là, à 24 ! De cette année scolaire, il a tout vu ! Normal, il y était. Devant le tableau et, depuis quelques années, devant l’écran. Ah ! Le vidéoprojecteur, quelle belle invention.
Lire la suite « Une année de cinéma au collège en 3’34 (2022-2023) »Hélène Frappat. Trois coups et voilà qu’elle dirige sa lumière sur trois femmes que l’écran a rendu célèbres et dont on parle peu ou plus.
Trois femmes, trois étoiles filantes avec une malédiction qui leur colle aux basques.
24 malheurs par seconde.
Trois actrices et des réalisateurs convoqués, dont le grand maître du suspens.
Ce livre est un WhodunHitch.
Lire la suite « Trois femmes disparaissent…et juste une dernière chose »Le Paltoquet c’est un film de 1986 et de Michel Deville avec la fine fleur des acteurs des années 80. Ardant, Auteuil, Bohringer, Moreau, Léotard, Piccoli, Pieplu, Yanne.
Un film avec des acteurs et des stéréotypes. Le Professeur, Le Docteur, Le Journaliste, Le Commerçant, Le Commissaire, La Tenancière et Le Paltoquet et puis Lotte, la jeune femme ténébreuse de blanc vêtue.
Une sorte de huis clos à huit personnages.
Lire la suite « C’est beau un Deville, la nuit (le jour aussi) »Alors que sort, aux éditions Complicités, un livre sur les sourcils, il pense à Jack Nicholson.
On est en 2013. C’est une interview de Leonardo di Caprio. L’acteur passe à la télé japonaise et il est en pleine promotion du Django Unchained de Tarantino. Voilà qu’à la demande de l’animatrice qui a l’air fan, Di Caprio se lance dans une imitation de Jack Nicholson, son partenaire des Infiltrés de Martin Scorsese.
Lire la suite « Les sourcils de Jack Nicholson »Dans le cinéma français, la voiture abandonne souvent sa symbolique virile pour adopter des chemins de traverse.
Sa valeur n’est pas le volant. C’est pas Mad Max, c’est Max Bad. C’est une voiture qui véhicule une vision en miroir, un coup d’œil rétro empreints de satire, de poésie, de pas de côté.
Quand on s’appelle Thor, on s’expose.
En France, la critique saute volontiers sur les noms avec lesquels on peut jouer au fil d’une recension (les noms ludiques, comme on dit au bac).
Abbott et Costello go to Mars, réalisé par Charles Lamont, sort en 1953. L’année où Staline perd pied et 69 ans avant que l’homme n’ait pas encore mis le pied sur cette planète.
Lire la suite « Abbott et Costello vont sur Mars et c’est pas triste, enfin… »Ce qu’il y a de bien avec les calendriers de l’Avent, c’est leur retour annuel (l’équivalent de 2020 est ici).
Cherchant l’un, on trouve l’autre. Et si on s’interrogeait sur des mots qui se ressemblent ? Le Net est un grand pourvoyeur de confusions. Homonymes, homophones. Avec Internet, il faut être prudent. Une sérendipité réfléchie nous donnera davantage de distinction pour briller en société.
Belle pour Franck Capra, Roberto Begnini ou, en série, sur France 3.
Lire la suite « 25/25 La Vie est belle »