
Chaque 18 mai, l’écrivain finlandais Arto Paasilinna remettait son manuscrit à son éditeur.
Bientôt 10 jours que le 18 mai est passé.
Bientôt 4 ans que l’écrivain a trépassé.
Chaque 18 mai, l’écrivain finlandais Arto Paasilinna remettait son manuscrit à son éditeur.
Bientôt 10 jours que le 18 mai est passé.
Bientôt 4 ans que l’écrivain a trépassé.
Lecture du moment (en français : Adam et Eve). La couverture finlandaise est mieux. Tu vois, Arto, ce n’était qu’un au revoir.
Ce n’est qu’un au revoir, Arto. Tes livres sont bien rangés et tu n’as rien d’un étranger dans ma bibliothèque. Ta plume alerte, Arto, le restera.
Le Destin nous pose un lapin, mais il nous reste ton lièvre et tous les autres animaux de ton bestiaire, finaud finlandais que tu étais.
Nulla dies sine Paasilinna. Pas un jour sans Paasilinna ou presque. L’exagération est une admiration.
Au pays d’Artaud, par ta folie tu en étais une sorte de double. Lire et rire allaient de pair. Universel, même si Finland is your Land.
Un peu enfant, un peu en fantaisie. Avec des recoins sombres dignes de ces forêts du Nord où tu exerças un temps le métier de bûcheron.