
L’amateur de L’Homme de Rio ne sera pas déçu. Grands ensembles et prose haletante de poésie urbaine et d’accumulations frappantes. L’auteur débarque avec son Brésil. En frère d’âme brésilienne et une seule phrase il anime São Paulo.
Une seule phrase pour se mettre en phase. Une seul point. Un exercice stylistique qui ne relève pas du point et haltères, mais qui dit l’immensité de la ville.