
Selon un péremptoire Think Thank californien, 85% des emplois de 2030 n’existent pas.
Désormais, il ne suffit plus de traverser la route pour qu’on vous trouve du boulot, il faut voyager dans le temps.
Dell et l’Institut pour le futur font dans le H. G. Wells. Du récit d’Honticipation. Shame Shame Shame ! Shame of fools
L’essentiel est dans le digital. Pauvre comm’ Job.
On aimerait prend un taxi pour ce Tobrouk futuriste. L’intelligence cognitive va plus loin qu’un intellectuel assis et qu’une brute qui marche, même si elles sont réunies.
Quand on parle de cette vieille lune du travail pour tous à des patrons, ils regardent le digital.
Après 2030, ils voient l’être humain virtuel. Extra-tech-restres !
Autrefois c’était plus sympa, plus humain on voyait « l’avenir du rock’n’roll et son nom est Bruce Springsteen »
Pas sûr qu’en 2030 il y ait encore du rock’n roll, de la neige à Noël ou des profs en grève.
Des écrivains ? Duras prophétisait la fin de l’écrivain en 2027.
Les noms des métiers qui viennent ressemblent à des mots étranges comme éthiciens, psydesigners, roboticien, data scientist, pilote de drone civil, imprimeur 3D, et BIM manager…
Un Bim ! Manager ? Un superviseur d’artificiers, de lanceurs de missiles oraux ? Kaboom ! Boing ! Une tête de pont et de Pan ! Trêve d’optimisme. Sans doute un énième optimisateur d’austérité triste. Managère.