
Par ces temps où l’absurdistan tend à dépasser les bornes, à reculer les frontières, bref, à se mondialiser, son esprit s’embrume. Il le voudrait pourtant, tant sans brume (et voilà que sa phrase elle-même est contaminée et manque de clarté).
Il n’est pas seul responsable de ce marasme. La faute en revient aussi à la Cancel Culture. Cette dernière, féroce, fait rage. Et les fées de ne plus oser se servir de leurs baguettes…
La Blanche-Neige alors qu’on est au printemps…non mais des fois, ça ne manque pas de sel.
Son cœur chavire et Cancel.
Y a pas d’la joie.
Le Grimmwashing menace. Le plus drôle c’est que beaucoup parlent hors-sol, sans avoir lu les histoires originales qui sont plus salées que du Disniais. Et le moins drôle c’est que cette fausse polémique ne sert qu’à actionner une mécanique réactionnaire. Voir le billet de Mediapart d’André Gunthert.
Heureusement que Cancel Culture s’anagramme en Centrale Cucul, au moins c’est amusant. Une Centrale radioactive et réactionnaire.
Il se souvient du temps où le Politiquement correct battait son plein aux USA. La Cancel Culture en serait son avatar. Il se souvient d’un livre Politically Correct Bedtime Stories de James Finn Garner. En France, on put le lire en 1995. Les nains y avaient une verticalité contrariée et Blanche-Neige lançait au Prince « « Et vous, dit Blanche-Neige au prince, essayer de faire “ça” avec une fille dans le coma ! Beurk ! »
Tous les mythes, les contes, les fables doivent être revisités.
🙂 Mercis pour cet article,
La ‘cancel Culture’, est un terme bien curieux …
< alors qu’on est au printemps …
Si la neige s’efface … voilà encore une autre version du conte
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