
Il n’aime pas ceux qui orthographient mal « chat, ça court » et l’écrivent « chasse à courre » et s’en vantent à cor et à cri. Ces obsédés de la vénerie le rendent vénère. Il rêve de les voir à court de chasse.
Le ou la covid ? En tout cas, pour lui et sa petite académie français particulière, c’est LE chat-ça-court.
Unique Chat-ça-court qui fait sa joie…titubante. Un vent de liberté à arracher les couvre-lits, à péter les vases, à renverser les mugs, à lacérer les rideaux. Tornade noire, blanche, rousse, de caniveau, de gouttière. Et quand c’est fini – pour un court moment, la mi-temps du chat – ces chats qui s’appellent, qui halètent, les pupilles dilatées.
Un temps de pause, planqué dans un carton ou derrière une porte. Et ça repart au quart de tour : contre le mur, quasi au plafond. C’est du Tex Avery par temps de fête.
Pour un peu, sortant du cartoon, le chat danserait avec les souris. Le chat n’est pas las. Et les souris dansent.
Ode à l’hyperactivité, à la nature sauvage domestiquée qui s’en va toute seule. De quoi s’inquiéter que les chats disparaissent un jour du monde. Si si. Qui fournirait un alibi béton à la transformation en bouts épars de tel ou tel cadeau moche et disgracieux ? Une méthode plus propre que de revendre discrétos son cadeau sur quelque site marchand consacré à l’occasion.
Ah les hommes ! Voir Le Chat qui détestait les gens (The Cat that Hated People)
« They knock ya down ! Step on ya, walk on ya, step on ya, walk on ya, … »
De chance lente à joie titubante … Ah Voui 🙂 … Joli joli !!
Bref … de Cata Sûre à la Cata assurée … y’a que 4 pattes pour dans le cartoon s’y retrouver ???
😉 Avec amicales salutations toutes retour-nées !
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