
Des titres de livres défraient la chronique littéraire (ou pas) parce qu’ils comportent des noms de marque. Et si, comme dans le roman d’Alain Damasio, Les Furtifs, où les marques rachètent des villes elles s’appropriaient des livres ?
Ça pourrait donner quelque chose comme ça…
Boucle d’or et les 3 Suisses
Total Kheops de Jean-Claude Izzo
L’Adieu aux Armani d’Ernest Hemingway
Zadig et Voltaire, ah déjà fait
Le Seigneur des Galliano de Tolkien
Nik’ü de Bashô Matsuo
Amazon d’Apollinaire
Blanche-Neige et les Seb nains des Frères Grimm (en latin Candida Nivea)
Le Petit Nicocacolas de Sempé et Goscinny
L’Apple de la forêt de Jack London
En attendant le poêle Godin de Samuel Beckett
Ainsi parlait Zarathustra de Friedrich Nietzsche
Le nom de l’Harrods d’Umberto Eco
Ford comme la mort de Maupassant
Si la céréale Kellogg’s ne meurt d’André Gide
Cartier lointain de Jiro Taniguchi
Le diable s’habille en Prada, ah déjà fait !
La première gorgée de bière ENCART À LOUER de Philippe Delerm
Histoire d’un Moët et Chandon et du chat qui lui apprit à voler de Sepulveda
Les Philipsiques de Cicéron
L’Extraordinaire Voyage du fakir qui était resté coincé dans une armoire Ikea, ah déjà fait !
Delirium Siemens de Ken Bruen
Budweiser endormi de Victor Hugo
La Pannasonic de Friedrich Dürenmatt
Kleenexus d’Henry Miller
The Very Hungry Caterpillar d’Eric Carle, déjà fait et rien à voir
L’œuvre d’Audi, la part du diable de John Irving
Voyage au centre de Caterpillar de Jules Verne
Le Seigneur des Porscheries de Tristan Egolf
En finir avec Eddy BelleGoogle d’Edouard Louis
Des Sony et des hommes de John Steinbeck
S’il est minuit dans le siècle à ma Rolex de Victor Serge
Maudit Bic d’Herman Melville (clin d’œil à G. Perec)
Etc.
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