À lire à l’heure
« Clarissa nous appelle d’une voix pressante dans l’obscurité : elle veut savoir l’heure exacte. Il est sept heures trente-six. Elle commence à se sentir toute bizarre dehors, comme si elle risquait soudain de perdre le contact avec nous et de se retrouver seule, abandonnée.
– Il est tôt, murmure Paul.
– Je vais faire un tour chez Walter ce soir. Tu veux m’accompagner ? »
Un week-end dans le Michigan de Richard Ford (1990)
In the wee small hours of the morning …
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