Éphémérides. Quand le calendrier se fait littéraire.
« La nuit du 28 novembre, elle avait à nouveau rêvé :
Je me réveille en sursaut. Dans l’obscurité de la chambre à coucher, il me semble sentir la présence de quelqu’un, mais, une fois levée, il n’y a personne, rien que l’ombre blanche de la lune sur la porte. Je reste assise sur le lit, je sais que ce rêve est important. »
Profondeurs de Henning Mankell (2014)
Paul Éluard (« Le temps déborde » – en poétisant la mort par trop brutale de NUSCH, le 28 novembre 1946 )
« Vingt-huit novembre mil neuf cent quarante-six
Nous ne vieillirons pas ensemble.
Voici le jour
En trop : le temps déborde.
Mon amour si léger prend le poids d’un supplice. »
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