Éphémérides. Quand le calendrier se fait littéraire.
« Tous les soirs, après le travail, nous allions faire des longueurs ensemble à la piscine. Elle nageait, nageait, comme un véritable poisson, je ne me fais donc pas trop de souci pour…Enfin, je pense qu’elle va bien. Vous avez déjà entendu parler d’un poisson qui se serait noyé ? »
Bethany Kee (Directrice adjointe des inscriptions, Université du Minnesota
Entretien particulier, 21 septembre 1991, Edina, Minnesota.
Au Lac des bois de Tim O’Brien (2019)
Dans la famille O’Brie(a)n, je demande la ou le…
Bonjour cher Rédacteur, et à ceux qui suivent, 🙂
En littérature, comme en chansons… L’O brille bien :
Ici … À la corde, c’est Maison ! … Par Tim O’Brien …
« The House Of The Rising Sun »
There is a house in New Orleans
They call the Rising Sun
And it’s been the ruin of many a poor boy
And God, I know I’m one
My mother was a tailor
She sewed my new blue jeans
My father was a gamblin’ man
Down in New Orleans
Now the only thing a gambler needs
Is a suitcase and a trunk
And the only time he’s satisfied
Is when he’s on a drunk
[Organ Solo]
Oh mother, tell your children
Not to do what I have done
Spend your lives in sin and misery
In the House of the Rising Sun
Well, I got one foot on the platform
The other foot on the train
I’m goin’ back to New Orleans
To wear that ball and chain
Well, there is a house in New Orleans
They call the Rising Sun
And it’s been the ruin of many a poor boy
And God, I know I’m one
… On en redemande ???
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… Alors, et d’une famille plus grande encore, Hand somme …
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« Come with me to the forgotten lake
Where covered wagons and the wings of missing planes
Float between black fish underneath the velvet waves
Strange lights fly across the rocky beach
Girls in white nightgowns wander barefoot in their sleep
And the vapors of dreams winding circles round their feet
Down down float them down
Let the waters float them down
To where they’ll remember everything
Golden flash at the corner of your eye
Though shadows that climb your darkened walls at night
They open a door lit with forgotten light
In dark water, the grey veil falls away
We’ll see with closed eyes and drift softly in the rain
Like dragonflies in love, we’ll dance across the silver waves
Down down float us down
Let the waters float us down
To where we’ll remember everything »
Bon Weekend , 🙂 !
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Je crois que le dictionnaire me fait du bien, je crois que je vais surmonter des difficultés qui me semblaient auparavant insurmontables et je ne parle pas de ce que j’ai en tête : si je surmonte vraiment mon handicap, j’irai vivre seule parce que tous ces gens sont fatigants je vois en profondeur tout autant que je parle en surface ce que je vois en profondeur ne me plaît pas et de loin ça me fera moins mal ou ça ne me dérangera pas parce que je m’éloigne chaque minute davantage de ce qu’on appelle famille et je m’occupe de plus en plus de moi.
J’achetai une grande toile pour peindre mon monde.
Le jaune me porte malheur et je suis superstitieuse mais ici il va m’être indispensable (dictionnaire) comme à certains peintres qui ont ensuite souffert de crises de folie et de suicide mais dans mon cas le premier point serait inévitable parce que ma famille laisse beaucoup à désirer et le deuxième dépend de moi il ne m’attire pas.
Pour inaugurer le gril, don José choisit le jour de l’anniversaire de Betina qui est le 20 septembre le dernier jour de l’hiver car le 21 c’est le début du printemps. Betina commença être quelqu’un à partir de ce choix.
Les cousines – Aurora Venturini
L’action se passe en Argentine (d’où les dates étranges pour printemps et hiver …)
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